Sauf qu'à ma connaissance il n'existait qu'une seule journal libre pour lequel on conservait le contrôle par les pairs, ce dernier concernant la seule biologie. Ca a évolué ?Michiru a écrit :Moralité : les journaux en Open Access, c'est bien.
Ok, on utilise la syntaxe du lambda calcul ? Ca roule, merci bien. Je n'ai pas de grandes notions en ce domaine mais je sais où chercher.(a), c'est donc sensément la structure profonde, et donc quelque chose de très simple : des lambda-termes linéaires, sans types. On détaille simplement quel est le prédicat, quel est l'argument, où il se place (ici, le xi représente l'endroit où on va placer (every woman) après application).
Hmmm, c'est bien ainsi que j'aurais tendance à lire la proposition mais ça ne me semble pas coller. La proposition ainsi énoncée implique que dans tout monde i, il existe une femme y aimée par tous les hommes x, ce qui diffère évidemment de la proposition orginale.(c), c'est la forme logique. La difficulté, c'est que Reinhard donne une sémantique intensionnelle : le lambda i sert à quantifier sur les indices, c'est-à-dire les mondes possibles. Pour avoir la sémantique vériconditionnelle classique, il faut l'instancier. Pour le reste, c'est classique, je traduirai en français par "il existe un y qui soit une femme dans le monde i et tel que pour tout x, le fait que x soit un homme dans le monde i implique (intuisionnistiquement) que x aime y dans le monde i".
Or, je m'attendrais plutôt à : pour tout monde i, il existe une femme y telle que l'un au moins des hommes x vérifie love(x, y, i). Mais je ne vois pas comment aboutir à cette lecture.
Heu, oui, c'est vrai. Cela dit, pendant ce temps là, ils ont cessé de s'engueuler. Finalement, on détend peut-être l'atmopshère.(Au fait, vous le dites, les gens, si vous trouvez qu'on floode...)