Bah, si tu reconnais ta faute, ça n'a plus rien d'amusant.
Je ne suis pas comme ça, moi, môssieur : je ne fouette que ceux qui dénigrent la repentance, fuient le châtiment, plaident non-coupable, hurlent à leur honneur souillé, se tapissent derrière les faux-semblants, inventent subterfuges et fadaises pour masquer leurs bévues, s'élancent dans de longues plaidoiries larmoyantes, nous rabâchent leur enfance battue, invoquent maître Vergès à la barre, clament que quoique fautifs ils ne sont pas Pol Pot pour autant,
accusent le système, graissent la patte des jurés, ...
Mais toi, non, tu arrives et me jettes un "tu as raison, j'ai vraiment abusé, je mérite le fouet". Bah ! Tu me dégoûtes à me voler ainsi mon plaisir, c'est que je suis un sadique tendre, moi !